Cresppa > GTM > Équipe > LAÉ Jean-François

Jean-François Laé

Sociologue, Professeur émérite, (1er oct 2020) à l’Université de Paris 8


Domaines de recherche
  • Sociologie des écritures populaires
  • Institutions sociales et discipline des corps
  • Modes de vie et politiques sociales
  • Ethnographie des archives personnelles

Mots-clés dans l'index

Page mise à jour le 26 janvier 2021
 

Recherches en cours

  • Projets jusqu’en 2025
    Après le 1er septembre 2020, mes recherches vont se poursuivre en déployer plus avant une sociologie narrative. Il s’agit pour moi de proposer de nouvelles formes d’expressions afin de s’ouvrir à la « part réflexive » des classes populaires.
    Un programme de publication se profile jusqu’en 2025. La première publication prendra un corpus d’agendas qui se distribuent entre 1920 et 1980, écrits par un viticulteur, un technicien électricien, une infirmière, une femme « à la maison » et un ouvrier mal aimé. L’objectif vise à rendre compte du découpage du temps. Qu’est-ce qu’un emploi du temps qui oblige à faire ceci ou cela ? Pourquoi tient-on plusieurs calendriers : de son travail, de ses fins de semaines, de sa santé, de l’organisation familiale et de son intimité ?
    Une seconde publication (2023-2025) exposera en quoi consiste une sociologie narrative. A partir d’un corpus d’archives personnelles, j’essaierai de montrer comment l’écriture ordinaire tend vers une lente domestication institutionnelle en acte qui se réalise, une technique d’écriture pour que l’individu s’inscrive dans des temps sociaux. Il s’agira de montrer comment l’archive dite personnelle témoigne pour des milliers d’autres, traverse l’épaisseur des temps silencieux et dit une histoire collective.
  • Allez ou non aux Prud’hommes
  • Prises de paroles et d’écritures au tribunal
  • 2019-2020, "Exilés : ce qu’habiter à l’hôtel veut dire", (avec Laetitia Overney), PUCA
    La recherche décrit l’attente des familles exilées, hébergées par les autorités publiques dans des hôtels low cost en périphérie des villes (Formule 1, Etap, etc.). A partir d’une enquête ethnographique dans une dizaine d’hôtels principalement dans l’Oise et en Ile-de-France, nous explorons les différentes manières d’habiter ces chambres. A l’échelle de l’hôtel tout d’abord, comment organiser son intimité entre un espace individuel sommaire, une cuisine et des sanitaires collectifs ? Comment s’approprier cet espace si standardisé et pensé pour ne passer qu’une nuit, quand on y reste plusieurs années ? Sur une autre échelle, nous relevons les va-et-vient nombreux vers les centres villes éloignés pour accéder aux ressources et services. Dernier point d’observation, les relations entre l’hôtelier et les familles dans ces espaces d’extraterritorialité qui échappent le plus souvent au regard.
    Parce que l’espace d’hébergement donne un relief particulier à l’attente des exilés, nous proposons de saisir ces temporalités sociales comme configurations particulières des relations entre l’espace et le temps. L’enquête montre combien l’attente a une réalité toute matérielle dans ces chambres de 9m2 pour trois ou quatre personnes. Les familles vivent entre l’impossibilité de s’installer en France – au sens du droit commun de « prendre domicile » – et le temps qui creuse leur présence, accumule les relations et les expériences. Une forme de paradoxe entre précarité du statut et épaisseur du temps vécu.
  • 2017-2019, Direction de la recherche "Parcours de l’exilé : du refuge à l’installation" pour le PUCA dans le cadre du programme « L’accueil, la circulation et l’installation des migrants » en 2017, puis de l’ANR BABELS (dir. M. Agier) jusqu’en 2019.
    La recherche retrace les premiers temps du parcours des exilés en France, celui des démarches pour avoir droit à un hébergement d’urgence, notamment dans ce que les institutions appellent aujourd’hui « des centres humanitaires ». Après être passés par ces centres, les exilés sont orientés vers d’autres hébergements supposés être plus durables. La recherche décrypte les conditions matérielles de l’attente dans ces lieux d’hébergement. Qu’est-ce que cela signifie pour un exilé être hébergé en attendant que l’OFPRA statue sur son sort ? Cette question est abordée à partir d’un travail d’observation auprès des exilés.
    La recherche décrit les lieux d’hébergement (centre d’urgence en Ile-de-France, bâtiments administratifs désaffectés, centres de vacances reconvertis, appartements municipaux dans des villages, hôtels vétustes, etc.). Les conditions d’installation sont très variables en fonction de la qualité de l’hébergement proposé et de sa situation géographique, des équipements et services publics disponibles, de la présence ou non de professionnels et de bénévoles auprès des exilés, ou encore de « l’accueil » qu’on leur fait dans les localités (élus locaux, citoyens). Par-delà ces différences, ces « premiers moments » sont rarement l’occasion de vraiment se poser après un long parcours mouvementé entre la fuite du pays et la vie à la rue. Nous montrons comment l’attente est ce temps délicat où les demandeurs d’asile ne peuvent pas avoir de prise sur leur
 

Publications

Ouvrages

Jean-François Laé, Parole donnée : entraide et solidarité en Seine-Saint-Denis en temps de pandémie, Paris : Syllepse, Janvier 2022, 144 p.

Il faut lire ces pages avec ce trouble inquiet d’une contamination dont on ne savait presque rien. Qui a pu oublier ce 15 mars 2020, où tout fut soudain suspendu ? L’état de panique où nous étions lorsqu’il a fallu fermer sa porte, pour un temps indéterminé, excepté l’heure d’autorisation de (...) Lire la suite...



Laetitia Overney et Jean-François Laé, Exilés  : ce qu’habiter à l’hôtel veut dire, Paris : Editions du Puca, « Réflexions en partage », janvier 2021, 196 p. En ligne

Parmi les établissements mobilisés pour fournir un hébergement aux demandeurs d’asile en attente de leur régularisation, on note une part significative d’hôtels reconvertis totalement ou partiellement à cette nouvelle mission. C’est notamment le cas des «   hôtels-budget  » qu’on avait vu (...) Lire la suite...



Jean-François Laé, Une fille en correction. Lettres à son assistante sociale (1952-1965), CNRS Éditions, août 2018 - 250 p.

Dans le sous-sol d’une association chargée de l’enfance à Avignon, sur des étagères en acier des années 1950, se succèdent trois cents mètres de dossiers noircis par le temps. « C’est un débarras », me lance Chantal, la cheffe du service, « vous ne trouverez que du vieux papier ! ». Des (...) Lire la suite...



Jean-François Laé, Dans l’œil du gardien, Paris : Édition du Seuil, coll. « Raconter la vie », 2015 - 112 p.

Dans une cité HLM du nord de Paris en pleine rénovation, des gardiens sont au travail : ils surveillent, réparent, tempèrent. À travers leur regard, on entrevoit ce qui n’est pas montré d’habitude : des résidents qui s’observent, les plaintes quotidiennes, les vrais problèmes. On redécouvre (...) Lire la suite...



Jean-François Laé, avec Numa Murard, Deux générations dans la débine. Enquête dans la pauvreté ouvrière, Montrouge, Bayard, 2012.

A la fin des années 1970, Numa Murard et Jean-François Laé avaient conduit une première enquête à Elbeuf, ville ouvrière de Seine Maritime. Dans les cités provisoires édifiées à la hâte pour éponger les bidonvilles et les taudis, les dernières "poches de pauvreté" semblaient alors devoir (...) Lire la suite...



Jean-François Laé, avec Philippe Artières, Les Écritures personnelles. Histoire, anthropologie et sociologie, Armand-Colin, 2011.

Que faire d’une correspondance, d’un agenda, d’un journal de rêve, d’une lettre à l’administration, d’un carnet d’héritage, d’un journal personnel ? En mosaïques, les archives personnelles sont spontanément indéchiffrables. Il faut les mettre en séries pour en extraire des normes (...) Lire la suite...



Jean-François Laé, Philippe Artières, L’asile aux fous. Un lieu d’oubli Presses Universitaires de Vincennes, 2009.

Cet ouvrage, particulier, dirigé par un historien et par un sociologue, porte sur une réflexion sur la psychiatrie, autour de 32 clichés photographiques prises dans les années 50 par Roger Camar, alors jeune médecin dans deux hôpitaux psychiatriques, à Tunis et à Paris. “Mais il y a un (...) Lire la suite...



Jean-François Laé Les nuits de la main courante. Écriture au travail, Paris, Stock, 2008.

La main courante évoque les commissariats de police. Mais cette pratique existe dans d’autres lieux. Attentif aux écritures ordinaires. Jean-François Laé a étudié de nombreux cahiers tenus dans divers espaces de travail - une cité HLM, un service d’alcoologie, un lieu de vie pour handicapé, un (...) Lire la suite...



Jean-François Laé, avec Arlette Farge, Patrick Cingolani, Franck Magloire, Sans visages, L’impossible regard sur la pauvreté, Paris, Bayard, 2004.

Un livre sur la pauvreté... Entre ces enfants effarés pétris de froid et de faim rongés de vermine au XVIIIe siècle et le délaissé des métropoles modernes, entre la fille simple sur laquelle se penche le philosophe au XIXe et le démuni du XXIe siècle écrivant sa dernière lettre, entre la (...) Lire la suite...



Jean-François Laé, avec Philippe Artières, Lettres perdues. Ecriture, amour et solitude. XIXe et XXe siècles Paris. Hachette vie quotidienne, 2003.

« Dans ce livre, Philippe Artières, et Jean-François Laé mettent au jour des "archives sans qualités". Bafouilles, biftons, lettres et écrits fragmentaires sont le fruit d’un glanage, papiers trouvés au hasard d’autres recherches, disparates et inclassables alors. Ces écrits lacunaires, de (...) Lire la suite...



Jean-François Laé L’ogre du jugement. Les mots de la jurisprudence, Paris, Stock, 2001.

D’innombrables plaintes sont venues s’échouer au tribunal civil au fil des XIXe et XXe siècles, des milliers de dommages privés y ont été publiquement exposés, discutés, avant d’être avalés par l’ogre du jugement : de sombres affaires de famille, des histoires d’enfants abandonnés, de parents (...) Lire la suite...



Robert Castel, Jean-François Laé Une dette sociale : le Revenu Minimum d’Insertion, Paris, L’Harmattan, 1992.

La loi sur le R.M.I. votée en 1988 a pour objectif de compléter le système de protection sociale. La mise en œuvre de cette loi offre une situation quasi expérimentale pour tester les capacités de la société française à ouvrir les voies de l’insertion professionnelle, tout en assurant un filet (...) Lire la suite...



 

Coordination d’ouvrages et de de dossiers de revues

Jean-François Laé, Annick Madec et Numa Murard (dirs.), « Sociologie narrative  : le pouvoir du récit », Sociologie et sociétés, vol. 48, n°2, 2016 - 332 p.

Sommaire – Numa MURARD, « Présentation  : Déplacer les points de vue » - p. 5 19. Première partie : récits publics, biens du commun / Public Accounts, common goods – Annick MADEC, « La sociologie narrative  : un artisanat civil » - p. 23 43. – Corinne GRENOUILLET, « (...) Lire la suite...



Jean-François Laé (ed.) Robert Castel, Le roman de la désaffiliation, Paris : Publications de la Sorbonne, coll. « Tirés à part », 2016 - 48 p.

Tirés à part n.m. Extrait d’une revue ou d’un ouvrage relié à part en un petit livret. Destiné habituellement à faire connaître un article récemment publié, la collection détourne l’usage et la fonction du tiré à part pour inviter à la (re)découverte d’un texte. En lieu et place du (...) Lire la suite...



Jean-François Laé, Marianne Kempeneers, « L’archive personnelle, la grande oubliée », Sociologie et sociétés, Vol. 40, n° 2, automne 2008.

Présentation du dossier : Ce numéro dessine les contours d’une sociologie des documents personnels. Habituellement réservé aux historiens avec leurs concepts de micro-histoire, de critique des documents, de corpus, le terrain où nous nous situons ici questionne le grand partage qui cantonne (...) Lire la suite...



 

Articles

  • JF Laé, « Exilés : premiers moments loin de centres urbains » (avec C. Deschamps L. Overney, B. Proth), Revue européenne des migrations internationales, numéro thématique « L’accueil des migrants en dehors des métropoles », manuscrit évalué et accepté, 75 000 signes.
  • JF Laé, « Se dire, s’écrire dans un coin de l’église » (avec L. Overney) in Archives des gens simples (dir. Yves-Marie Bercé), Presses Universitaires de Rennes, p. 211-224, 2020.
  • JF Laé, « Ferme ta caisse ». Récit publié dans Sociologie et Sociétés, numéro : Sociologie narrative, le pouvoir du récit. Montréal. Volume 48, numéro 2, automne 2016.
  • JF Laé, « Je ne veux pas trop te coûter, tu sais ? ». Nouvelle parue dans ESPRIT, . Numéro spécial « Peut-on raconter le chômage ? », novembre 2014.
  • JF Laé, « Une vie à crédit. Brève chronique de l’endettement permanent » ( avec Numa Murard), Esprit, n° de décembre, 2013.
  • « Ecrire ses rêves, une conversion biographique ? », Revue Tumulte, n°36, 2011.
  • « Sur le bout de la langue, les singularités », Revue L’Inactuel, 2003, n°10, pp.189-198.
  • avec Isabelle Astier, « La notion de communauté dans les enquêtes sociales sur l’habitat en France », Genèses, Vol. 5, 1991, pp. 81-106.
  • « L’inaptitude à la RATP : de la protection à la sanction », Sociétés Contemporaines, n°8, 1991, pp. 107-125.
  • avec Numa Murard, « Protection et violence », Cahiers Internationaux de Sociologie, vol. LXXXIV, 1988, pp. 19-39.
  • avec Philippe Noisette, « Je, tu, il, elle apprend, Quelques aspects sur l’illettrisme », La Documentation Française, série « Le point sur  », 1985.

 

Chapitres d’ouvrages

  • JF Laé. « Archives mineures et sociologie narrative », in I. Perreault et MC Thibault, Récits inachevés, PU Ottawa, 2016.
  • JF Laé avec Fabien Deshayes. « quand les usagers écrivent et constituent leurs dossiers. Agir le droit pas à pas », in P. Delcambre et C. Matuszak, Ecrire au magistrat, PU du Septentrion, 2016.
  • JF Laé.« La photographie prédatrice. Les enfants pauvres à Chicago en 1900 », in Annie Stora-Lamarre, Les âmes mal nées, Presses Universitaire de Besançon, 2010, pp. 229-242.
  • JF Laé.« Sorties du silence, les écritures mineures ? in Jean-Paul Payet, Corinne Rostaing, Frédérique Giuliani (Dir.), La Relation d’enquête. La sociologie au défi des acteurs faibles, P.U.R., 2010.
  • JF Laé avec Isabelle Astier. « Les travailleurs sociaux contre le contrôle social », in Philippe Artières et Michèle Zancarini-Fournel (Dir.), 68, une histoire collective, La découverte, 2008.
  • JF Laé. « Borderline, à la frontière du médical et du social », in Stéphane Beaud, Joseph Confavreux, Jade Lindgaard, La France invisible, La découverte, 2008.
  • JF Laé. « Boire, bien boire », in Michela Marzano (Dir.) Le Dictionnaire du corps, Presses Universitaires de France, coll. Quadrige, 2007.
  • JF Laé. « La bise du chien », in Arlette Farge, Rose-Marie Lagrave, Philippe Mangeot, Gérard Mordillat, Sept images d’amour, Les prairies ordinaires, 2006.
  • JF Laé. « Le sensible : lorsqu’on est pris entre deux feux », in Sensible, édition de l’Aube, CRESAL, 2006.
  • JF Laé. « L’intimité dans le droit : des jeux de véridiction », in Francoise Reumaux, Passeports pour le vrai / le faux, Kimé, 2005.
  • JF Laé. « L’intimité, le pouvoir et le droit », in La cité charnelle du droit (ss. Dir. Annie Stora-Lamarre), Presses Universitaires Franc-comtoises, 2002.
  • JF Laé. « La place vide du suicidé dans le droit », in Philippe Artières, Da Silva Emmanuel (dir.), Michel Foucault et la médecine, Kimé, 2001.

 

Documentaires radiophoniques

  • « Retour sur enquête. Ethnographie d’une ville ouvrière » : Jean-François Laé et Numa Murard sont retournés sur les lieux de leur enquête dans une cité ouvrière de Seine-Maritime, trente ans après. Deux documentaires diffusés sur France Culture, les 27 et 28 décembre 2010, dans "Sur les docks". A écouter ou ré-écouter sur le site de France Culture :
  • « Qu’est-ce que chômer veut dire », émission « Radio Libre », France Culture, Octobre 2005 :

   

Communications

Principales communications
  • « L’acte photographique et les institutions d’hébergements », Saint Etienne, Modys CNRS, 5 février 2010.
  • « Les dispositifs d’écriture et les institutions », conférences GTM-CRESPPA à l’IRESCO, 18 janvier 2010.
  • « Le producteur et le réalisateur de documentaires », France culture débat organisé par les chargés de réalisation de France Culture, 24 novembre 2009.
  • « Traces d’histoire : quand l’institution s’écrit », CREMIS, Montréal, 15 septembre 2009.
  • Journée sur « L’irruption du biographique et du littéraire dans les écritures théoriques », Département de sociologie, vendredi 23 mai 2009, Limoge.
  • « L’écriture ordinaire en institution », colloque sur la place des usagers dans les relations d’aide (Christopher Mc All), ACFAS, Ottawa, 13 mai 2009.
  • « Dispositif d’écriture », journées d’études « La voix des acteurs faibles », SATIE-Genève, ModyS-Lyon 2, les 15-16 janvier 2009, Genève.
  • « Quelle place pour le conjoint du malade Alzheimer ? », AGE05. Congrès international de sociologie, Santé et vieillissement. Vieillissement en santé : nouveaux défis pour la société, Neuchâtel, 25-27 août 2005.
 

Responsabilités scientifiques

  • Co-responsable du Master Mode de vie, institutions et politiques publiques.
  • Membre commission de spécialistes 19 (sociologie, démographie).
  • Membre titulaire du conseil de l’école doctorale sciences sociale Paris 8.

^



VENIR AU CRESPPA
Site principal : Site Pouchet du CNRS, 59 rue Pouchet, 75 017 Paris (3e et 4e étages). Plan d'accès
Site de Nanterre : Université Paris Nanterre, 200 avenue de la République, 92001 Nanterre cedex. Bâtiment Henri Lefebvre (ex-bat.D), salle 401. Plan d'accès

Presentation

Présentation du CSU

Presentation du GTM

Présentation du LabTop

Membres du Cresppa

Liste alphabétique

Chercheur.es titulaires

Chercheur.es émérites

Ingénieur.es, technicien.nes

Docteur.es et post-doctorant.es

Doctorant.es

Équipe CSU

Équipe GTM

Équipe LABTOP

Recherches

Partenariats

Evenements

Événements

Publications

Formation doctorale

Thèses en cours au CSU

Thèses en cours au GTM

Thèses en cours au LABTOP

Archives

Archives du CSU

Archives du GTM

Archives du LABTOP